Cycle lunaire

  

 

 

 

Le Vin Naturel ?

    Le Vin d'aujourd'hui, un produit Naturel ?

 

  Le vin est l'un des aliments que certains voudraient considérer comme une drogue, au même titre que l'alcool, le 

  tabac ou les produits dopants illicites,

 

  Notre approche concernant les produits addictifs, que ce soient des drogues ou des jeux, se résume en une

  question : Pourquoi des êtres humains recherchent-ils une forme de réponse à un problème qu'ils ne parviennent pas

  à résoudre, par des solutions qui sont inappropriées,

 

  Notre forme de société civile sous le joug de la finance, crée des situations traumatisantes et elle ne recherche pas

  les moyens de venir en aide pour compenser les dégâts qu'elle provoque :

 

   Chômage, handicaps, maladies, décès, perte de salaire, de moyens d'être, dislocation familiale,

   asservissement, frustrations, harcellement, etc...

 

   Cette société crée plus de besoins que les gens ne peuvent acheter, plus de rêves que chacun de nous ne peut

   réaliser,

 

  Pire, elle organise les addictions : le tabac n'est plus ce qu'il était, on y a rajouté des produits qui décuplent l'envie,

  le besoin, l'état étant lui-même l'un des pourvoyeur,

 

  Ce n'est pas en accusant un produit alimentaire dont la consommation exagérée produit de mauvais effets, que l'on

  résoudra les problèmes de société, on ne fait que déplacer les problèmes, ou on cherche de nouvelles sources de

  revenu fiscales.

 

  Le vin est un aliment noble, naturel, ancestral, produit par une liane que l'on a domestiqué.

 

   Comme pour tous les aliments la qualité du vin doit être préservée, améliorée,

 

  Considérer le vin comme une simple drogue est un crime contre la Santé, puis qu'il est reconnu qu'un vin de bonne 

  qualité, consommé modérément est un élément qui prévient les maladies cardiaques, les maladies dégénératives,

  de nombreuses études le confirment,

 

  Il a de bons vignerons, de bons viticulteurs, et des gens qui n'ont pas la compétence pour exercer ces métiers, il y a

  aussi des mécréants qui recherchent uniquement le rapport financier immédiat.

 

  La facilité, n'est et n'a jamais été une bonne conseillère, seuls les bons professionnels qualifiés ont acquis

  l'expérience qui allie le sérieux et le respect de la vie à tous ses niveaux,

 

  Les dérives viennent essentiellement de la façon de cultiver, de bonifier les sols, ce qui évite ensuite d'avoir à

  rattraper dans le chai ce qui a été mal fait dans la vigne,

 

  Dès lors, une méthode de culture inappropriée, l'emploi des engrais chimiques, les pesticides, les additifs, le

  sulfitage, etc, ne peuvent que produire un breuvage dénaturé, empoisonné par les résidus qu'ils contiennent,

 

  Une étude sérieuse effectuée sur les vins a été faite par l'association « Mouvement pour les Générations Futures »,

  elle a a permis de constater les dérives et les traces des poisons utilisés

   à tous les niveaux, depuis le sol jusqu'à la mise en bouteille,

 

  Cette association a gagné le mauvais procès qui lui a été fait, non pas sur les analyses de la mauvaise qualité des

  vins, mais sur les pertes financières à venir, à cause de cette révélation,

 

  Il est vrai qu'en agriculture intensive, les produits dégénérés obtenus, ne le sont que par l'apport des aides financières

  et ils servent à nourrir les populations des pays dits sous développés ou à entretenir les spéculations,

 

  Tout n'est pas blanc ou noir, dans la profession viticole, il y a du très bon, du bon et du mauvais,

 

  On sait que des grands vins sont produits de façon très proche des méthodes biologiques, les producteurs ne

   veulent pas le révéler, parce que le « Bio » est décrié et nuit au commerce,

 

  L'association PANSERNATURE considère qu'un aliment, quel qu'il soit, devient un poison pour l'organisme, à plus

  ou moins long terme, si il contient des éléments pouvant nuire à celui-ci,

 

  La Qualité du Vin ?

 

  Notre étude a porté sur un vin de Bourgueil (Touraine) qui était très bien conservé,

 

  Il a été produit par un cépage Cabernet franc dit « Breton » cultivé sur un sol Argilo-calcaire sans autre apports sur le

  sol que du fumier, vendangé à la main, écrasé à la presse, le moût s’est fait avec la pulpe et la rafle, le vin a été mis

  dans des foudres, mis en barrique, ouillé et soutiré puis collé et filtré au drap, et enfin, tiré en bouteille au bout d’un an.

 

  On utilisait pendant des années les mêmes barriques, ce qui n’influait pas sur le goût du vin.

 

  On souffrait les barriques pour éviter les fermentations bactériennes avant de les remplir.

 

  Une pratique qui a aujourd’hui disparue avec la mécanisation, le vin est séparé de la pulpe et de la rafle, la

  fermentation du jus se fait en cuve, la filtration est faite après sur diatomées, le vin est mis au repos en barrique,

  ou en cuve inox, avant la mise en bouteille.

 

  Or, c’est bien dans la pulpe que se trouvent les ferments naturels, dont le bisulfite organique qui permet au vin de

  démarrer la fermentation.

 

  C’est par le tanin de la pulpe et de la rafle (tige du raisin) que la conservation du vin acquière sa valeur de durabilité.

 

  Aujourd'hui, les viticulteurs savent que les fibres de la tige est polluée par les intrans, c'est pourquoi ils

  l'éliminent.
 

  Le pressage en fin de moût permet d’obtenir le jus de presse (bernache) qui finira seul sa

  fermentation en foudre ou en cuve.

 

  Le tartre du vin ( cristaux d’acide tartrique de potassium) qui se figent dans les barriques, fûts, cuves est un

  phénomène naturel qui est inhérent à la composition minérale des vins.

 

  Depuis des générations, on a exagéré les quantités de potasse déposées sur les sols, surtout quand ils sont

  calcaires, ce qui accentue largement de phénomène de redéposition avec le stockage du vin, à tous les stades.

 

  Le vin boisé artificiellement donne une fausse idée la qualité d’un vin, une forme de tromperie.

 

  Une culture qui ne respecte pas le fonctionnement séculaire de la vie des sols, le non respect de l’équilibre des sols

  au niveau de l’humus, la terre restée à nu y compris sous les ceps, sont autant de facteurs qui ont été et sont à

  l’origine des maladies, des larves ou des insectes qui atteignent la vigne.

 

  On peut considérer que le labourage des vignes avec l’enfouissement du fumier, la méthode ancestrale, est à

  prendre en considération pour la propagation des maladies comme le phylloxéra. Celui de l'enfouissement des

  sarements permet la diffusion les termites, puisque dans le sol, le bois ne se composte pas,

 

  Le fait d’utiliser des engrais chimiques, des pesticides accentue les contaminations, la fragilité des ceps, une étude

  (Mouvement des génération futures) a démontré leur présence dans le vin,

 

  La mécanisation, le pressage avec l’élimination de la pulpe et de la rafle, le filtrage sur les diatomées, éliminent les

  éléments vitaux du vin et nuisent à sa conservation, mais cela permet de rendre le vin plus rapidement

  consommable.

 

  Les ajouts de bisulfites ou autres conservateurs, le boisage, sont des oxydants puissants qui

   - acidifient (baisse du pH)

   - oxydent (augmentation du Redox qui passe de 10 à 20)

 

  Le fait de ne plus obtenir des moûts avec la pulpe et la rafle, a pour effet de ne plus avoir dans le jus les

  conservateurs naturels, de modifier les arômes, d’où l’action de l’œnologue pour « rattraper » ce qui n’a pas été fait

  en amont, dans la vigne ou par la fermentation normale.

 

  Dès lors quelle valeur peut-on attribuer à un vin qui doit être et doit rester l’un des garants de notre santé, dans la  

  mesure d’une consommation responsable et raisonnable, si on n’a pas respecté sa nature, sa culture et son

  processus d'obtention naturelle.
 

  On critique tout et n’importe quoi, mais si l’on commençait par rétablir les processus vitaux, ceux que la nature nous

  a permis d’observer et d’appliquer, on ne serait pas obligé d’utiliser tout un arsenal d’artifices plus néfastes qu’utiles

  tels que l'oenologue est obligé d'utiliser pour conserver à une production le maintient du goût, de la couleur, etc.

 

  Dès lors, la qualité intrinsèque du vin naturel, devient un gage de rentabilité, reconnue par la qualité obtenue, une

  qualité que les instruments confirment.

 

  Nous ne savons pas tout, mais ce que nous avons découvert, vérifié, nous permet d’affirmer que le renforcement de

  l’équilibre des sols ne peut que limiter les inconvénients qui surviennent lors de la transformation biologique qui

  s’opère dans la fabrication, l’élaboration des aliments,

 

  Il y a des reportages, des vidéos :

   - « l’agriculture biologique » sur le travail des sols et du boulanger , diffusé en 1998,

   - « la culture directe » diffusée sur la Télé Agricole,

   - Les explications du couple Bourguignon sur la qualité des sols,

   - Le travail et les enseignements de Pierre Rabbi, ceux d’ Hérody.

 

  Mais personne ne s’est soucié de reprendre avant nous, les travaux de Jean Boucher :

 

   - L’équilibre des sols, « La terre Franche »,

 

   - La fabrication du « Compost Eubiotique »,

 

   - L’excès de la potasse limité par le magnésium et tout le travail de Delbet sur les équilibres,

 

  Personne n’a véritablement développé les travaux de Louis Claude Vincent et de Jeanne Rousseau sur les équilibres

  électroniques des plantes et des sols, comme nous l‘avons fait depuis plus de quinze ans, sur le terrain.

 

  La Bio-Electronique est la seule science qui révèle le fonctionnement intime de la vie.

 

  Des données qui sont absentes des enseignements de l’agriculture biologique, comme l’ont

  constaté nos adhérents qui les ont suivi.

 

  Dès lors on peut comprendre que l’on utilise les artifices biologiques (tisanes, plantes) à la manière de ceux de

  l’agriculture intensive, parce que la méconnaissance et l’obstination de certains à rester dans ce contexte, sans

  chercher à le dépasser, ne peur conduire qu’à ne pas considérer que d’autres possibilité s’offre à nous.

 

  Notre rôle n’est pas de juger, ni de stigmatiser ce qui existe, parce que dans l’ensemble de la filière biologique il y a

  beaucoup de bon sens et de respect de la vie, mais d’apporter notre travail et de le partager.

 

  La culture de la vigne est l’exemple typique qui permet de mieux comprendre le rapport des équili-bres , une liane

  sauvage, apprivoisée, modifiée selon les terroirs et les traditions par l’hybridation, est un arbuste qui concentre dans

  ses fruits :

 

    - les hydrates de carbone qui par la fermentation donnent du vin,

 

    - le calcaire et la potasse. (acide tartrique, gravelle,…) qui se déposent dans les cuves, les fûts, les bouteilles.

 

    - des principes élémentaires alimentaires (enzymes, protéines, vitamines) donnant des gages de santé aux

      consommateurs. C'est un fait établi, vérifié.

 

    (Des médecins ont utilisé du bon vin rouge pour remplacer le lait pour les nourrissons dans des cas de

      son intolérance, à la dose d’une cuillère à soupe par biberon).

 

  Le dépôt de tartre, plutôt significatif de qualité, a été retiré par le filtrage à la presse, mais on a aussi enlevé les trois

  quarts des éléments (enzymes, protéines, vitamines) nécessaires à la santé, des éléments qui participent à la qualité

  et à la conservation du vin

 

  L’équilibre des sols, l’apport du magnésium, le pressage sur les grains, la fermentation avec la pulpe et la rafle, sont

  autant de facteurs qui améliorent la qualité de la vinification et de la conservation des vins sans le recours aux potions

  magiques.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

  Chaque intervalle de ligne représente une valeur d’un million de millivolts, on peut donc observer l’étendue de

  l’oxydation opérée par les apports faits aux vins.

 

  Ce graphique est très révélateur des effets nocifs et oxydants que l’on retrouve dans les vins d’aujourd’hui, alors qu’ils

  devraient se retrouver en EV,

 

  L’association PANSERNATURE a pour objectif de tout faire pour améliorer la qualité intrinsèque des aliments, elle

  ne fait pas que de critiquer ou dénoncer les mauvaises pratiques, elle propose aussi des solutions qu’elle a créés,

  mises en place et expérimentées.

 

  Quand on va attribuer la véritable valeur énergétique des vins, quelque soient leurs cépages ou leur mode de

  production, ceux dont cette valeur n’atteindra pas 70/100, auront des soucis pour  justifier leurs prix de vente.

                                                                                            Page non contractuelle

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                                                                                                                                                     Dernière modification : 31 décembre 2020