Cycle lunaire

  

 

 

 

 

       Les Organismes Génétiquement Modifiés

                          (Génralement Mauvais)

                              Des pesticides sournois

  

  La dernière innovation des semenciers a été d’introduire des gènes étrangers au monde végétal, pour les insérer 

  dans les plantes, que l’on appelle les O.G.M. (Organismes Génétiquement Modifiés).

 

  Ces inconscients utilisent un gène qui a un codage génétique déterminé, provenant d’un animal, d’un insecte, ou

  d’un mollusque,  pour l’introduire dans une plante ou un embryon humain, dont le

  codage est différent.

 

  Ce que personne n’est parvenu à définir scientifiquement ou de façon indubitable, c’est comment se comportent  

  les gènes, les uns par rapport aux autres, quel est le codage qui va prendre le pas sur l’autre.

 

  Toute modification dans la structure génétique d’un A.D.N. crée un déséquilibre par le fait que la chaîne des acides

  aminés est perturbée, la fabrication des protéines n’est plus en phase et la recopie de l’ADN ne fabrique plus que

  des cellules filles stériles.

 

  Normalement, les défenses immunitaires qui devraient  éliminer les cellules désorganisées, se trouvent écartées

  par une hormone qui accapare tout l’azote disponible, privant les autres cellules de leur développement naturel.

 

  Gaston Naessens l’a démontré en étudiant et comparant l’activité des cellules saines et les cellules cancéreuses

  avec le microscope spécial qu’il a créé : Le Somatoscope.

 

  Les cellules désorganisées par les Organismes Généralement  Mauvais, en se multipliant, se comportent

  comme les cellules cancéreuses en privant de nourriture les cellules saines, bloquent  les cellules nettoyeuses 

 

(Leucocytes) comme le fait le  V. I. H.  ( Sida) ...

 

   A l’origine, il s’agissait officiellement de protéger le maïs de son insecte prédateur, officieusement, c’est celui

  d’asservir l’agriculteur et le contraindre à n’utiliser que les produits synthétisés, qui en contaminant les plantes

  cultivées biologiquement, rend les semences  à  OGM incontournables.

 

  Les semenciers se sont vite aperçus que la protection n’était pas durable puis que l’insecte prédateur s’y adaptait.

 

  D’autre part, les produits biologiquement cultivés, subissent la contamination  par les insectes qui viennent des

  plantes à OGM pour les polléniser, du seul fait de la proximité des cultures et ce parce qu’aucun garde-fou légal n’a

  été vraiment institué.

 

  Il faut souligner que si la méthode de culture biologique permet d’obtenir des produits beaucoup plus sains que la

  culture intensive, elle est fragilisée par l’absence de structure équilibrée dans ses sols, comme nous le constatons

  le plus souvent par les mesures.

 

  C’est sournoisement que les industriels les ont mis en place pour imposer leur forme de « libéralisme » qui est

  celle de la généralisation de leurs pratiques prédatrices, relayées par les pouvoirs

  publics qui les encouragent.

 

  En participant à la destruction de la Bio-Diversité, de la flore et de la faune, ils déstabilisent l’ensemble de l’équilibre

  de la Nature, ce qui complète par les pollutions qui agissent sur les climats et le

  réchauffement de la planète.

 

    C’est un véritable crime contre l’humanité !

 

  Le seul fait de s’y opposer est bien un devoir de civisme !

 

  Même si l’arrachage volontaire peut être considéré comme répréhensible, cela a été et reste le seul moyen

  médiatique pour fair connaître la réalité morbide du risque OGM.

 

  Cette forme de défense civique, de refus de l’arbitraire, est même inscrite comme un devoir, dans la Constitution

  Française.

 

  Elle l’est au même titre que l’est l’opposition au refus de la liberté de l’expression, l’opposition au racisme, …

 

  Nous ne devrions pas être obligé de constituer des associations pour  affirmer notre droit à consommer une

  nourriture saine, ou une eau épurée, puisqu’il existe des institutions étatiques comme l’ AFSSA, l’ INSERM,

   Le CNRS, l’INRS..

 

  Mais force est de constater, comme le font bien des chercheurs de ces institutions, s’ils veulent utiliser nos

  méthodes de mesure et leurs interprétations, ils doivent démissionner ou partir en retraite !

 

  La Recherche étant soumise aux industriels et aux financiers.

 

  Il n’y a plus de véritables recherches sur l’équilibre du vivant, en France, il n'y en aura pas tant que l'agriculture sera

  soumise aux dictats des semenciers et des firmes multinationales

 

 

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                                                                                                                                                     Dernière modification : 31 décembre 2020